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La vie après la mort

Le sujet de la mort et de l'existence ou non d'une vie après la vie a toujours intrigué l’Homme. De nombreux témoins sont revenus de la mort affirment qu'elle n'est pas une fin mais une simple étape. Nous appelons ces témoins les expérienceurs; tous ont étés déclaré cliniquement morts, tous sont revenus à la vie et tous affirment avoir vécu une expérience. Cette expérience est apelée NDE (Near Death Experience ou EMI en français; Expérience de Mort Imminente). Le fait le plus étrange est que leurs témoignages sont semblables.

En France 12 % des patients réanimés après avoir vécu un arrêt cardiaque ont expérimenté une NDE.

Mais tout d'abord, qu'est-ce qu'une NDE ?

Une NDE est une expérience vécue par une personne tandis qu'elle à été déclarée cliniquement morte. Ce qui est remarquable dans ce phénomène, c’est que nous retrouvons toujours les mêmes phases:

1- la décorporation et la sensation de flotter au-dessus de son corps :

C'est la phase autoscopique : elle correspond à l’épisode de sortie hors du corps. L’expérienceur vit une décorporation (appelée O.B.E: Out of Body Expérience) durant laquelle il se voit lui-même projeté au-dessus de son propre corps. Il éprouve la sensation de voler au plafond de la pièce, possède la faculté de lire dans les pensées des personnes présentes. Il a la faculté de se déplacer au travers des objets matériels. Les déplacements sont rapides et permettent d'aller parfois loin de l’endroit où se trouve son corps physique. L’expérienceur réalise qu’il est mort mais cette situation n’engendre aucune l’angoisse.

2- la lumière blanche au bout du tunnel :

L’expérienceur se sent aspiré dans une sorte de tunnel obscur. Le déplacement dans ce tunnel se fait de façon très rapide. La vitesse est si prodigieuse, que l’expérienceur à parfois l’impression de ce déplacer plus vite que la vitesse de la lumière. Au bout du tunnel il y a une lumière qui brille. Plus l’expérienceur progresse dans le tunnel, et plus la lumière augmente d’intensité. Il se sent irrésistiblement attiré par cette lumière.

3- la rencontre avec des proches disparus ou une entité transcendante :

Les « guides » sont décrits comme des entités spirituelles qui aident l’expérienceur à franchir le tunnel et le rassure. Ils communiquent télépathiquement avec lui. Ils sont bienveillants et prennent parfois l’apparence d’un être humain vêtu d’une tunique blanche.

4- La rencontre avec la lumière :

Une fois le tunnel franchi, l’expérienceur pénètre une Lumière d’une beauté ineffable, fascinante, presque magnétique. Elle n’est ni aveuglante, ni éblouissante. Elle est parfois perçue comme un Etre investi d’une grande puissance et doué d’une compréhension illimitée. Il y a une communication directe : les pensées qui circulent sont claires, limpides et immédiatement comprises. Elles sont transmises de façon instantanée et sans aucun langage. La Lumière est apaisante, douce, chaleureuse, gaie, et possèderait même un solide sens de l’humour. Une question leur est souvent posée : Qu’as-tu fait de ta vie ? As-tu aimé ton prochain ? Cette question est posée sans condamnation ou jugement quelconque. Elle aide simplement l’expérienceur à prendre conscience des vraies valeurs de la vie.

5 - Panorama de la vie :

La question posée par la Lumière semble directement lié à la vision d'un panorama de la vie de l'expérienceur. C'est une revue panoramique, en couleur, hors du temps, et en trois dimensions, de toute sa vie, ou seulement des événements essentiels de celle-ci. Passé, présent, futur sont alors visibles simultanément. L’expérienceur revoit sa vie en tant que spectateur mais aussi en tant que juge. Il y a inversion des critères de valeur des actes par rapport à la vie terrestre ordinaire. Les actes semblent jugés en fonction du degré d’Amour avec lequel ils ont été accomplis. Le panorama de la vie s’effectue de façon bienveillante.

6 - La Connaissance intégrale :

En plus de l’Amour inconditionnel, l’expérienceur se voit gratifier d’une connaissance absolument prodigieuse, dispensée par la Lumière et concernant la totalité de l’Univers. Le savoir qui lui est donné dépasse infiniment toutes les formes de connaissances humaines. Certains affirment qu'ils n’ont pas eu le sentiment d’avoir « acquis » ce savoir, mais plutôt qu’ils s’en « souvenaient », comme s’il avait toujours été en eux.

7- Des paysages paradisiaques :

Lorsqu’il pénètre dans la Lumière, l’expérienceur est parfois projeté dans une sorte de paysage surnaturel d’une très grande beauté. Plus tard, il compare souvent ce paysage au Paradis. Les paysages décrits sont de magnifiques jardins, des prairies ou des paysages de campagne. Il semblerait que leur splendeur et leur beauté n’aient pas d’équivalents terrestres. Il y règne une perfection indescriptible. Là-bas, tout semble étonnement vivant.

8- Une cité de lumière :

Dans les N.D.E particulièrement profondes, les témoins mentionnent parfois une ville de lumière. Elle est généralement immense. On y trouve des rues, des jardins avec une végétation extraordinaire et des bâtiments divers. Elle semble fabriquée avec des sortes de matériaux transparents à l’intérieur desquelles brille une « lumière d’or et d’argent ». Tout dans cette ville respire la clarté, la pureté, l’harmonie, la beauté et la douceur.

9- La vision d’une frontière :

Cette frontière présente une limite entre le monde des vivants et celui des morts. L’expérienceur sait que s’il franchit cette limite, il ne pourra plus revenir.

10- Phase de la prise de décision et le retour dans le corps humain :

Les expérienceurs sont alors confronté à un choix (certains ne l'ont pas); celui de partir ou de rester. La réintégration corporelle survient de façon immédiate. Cette phase est généralement décrite très succinctement par les expérienceurs qui n’en ont qu’un souvenir bref et confus. Généralement, le retour s’effectue par le sommet du crâne. L’expérienceur a souvent l’impression qu’il rentre dans un vêtement trop petit pour lui.

Conclusion

Ces expériences nous amènent à explorer une hypothèse audacieuse : la non-localisation de la conscience dans le corps. En effet, en l’absence totale d’activité neuronale, le maintien de la mémoire ne peut pas s’expliquer. Peut-être que notre cerveau ne serait pas le producteur de la conscience mais plutôt le récepteur d’une conscience non-locale, selon un fonctionnement comparable à celui d’un poste de radio ou de télévision.

Les conséquences de ces témoignages sont révolutionnaires sur notre compréhension du cerveau, de la conscience et sur la nature même de la vie et de la mort.

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